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Interview de Jean-David Benichou, fondateur de Viadialog

Jean-David Benichou

Jean-David Benichou

Bonjour Jean-David Benichou, pouvez-vous présenter ViaDialog à nos lecteurs ?

Bonjour, ViaDialog, que j’ai fondé en 2004, est une entreprise spécialisée dans les solutions multicanales de gestion de la relation client. Nous fournissons aux entreprises des passerelles technologiques pour traiter l’ensemble desinteractions qu’elles vont avoir avec leurs clients.

Nos solutions viennent donc en support au dialogue client, que celui-ci se fasse par téléphone, par email, SMS, chat, vidéo ou encore, demain, avec des chatbots…Aujourd’hui c’est le client qui choisit le canal par lequel il souhaite contacter le service client d’une entreprise, au moment qui lui convient le mieux. Pour fournir une expérience client d’exception, les entreprises doivent pouvoir répondre à celui-ci, quel que soit le canal et surtout en minimisant au maximum le temps d’attente.

Les solutions de ViaDialog, hébergées dans le Cloud, permettent justement de traiter l’ensemble des flux d’échange avec les clients tout en s’intégrant avec les systèmes d’informations ou les CRM existants des entreprises. Nous sommes à la fois opérateur télécom, pour la partie de la relation client par téléphone et surtout éditeur de nos solutions, ce qui nous permet de les faire rapidement évoluer pour répondre aux attentes des clients. Ceux-ci sont de plus en plus connectés et leurs exigences en termes de service client sont de plus en plus fortes.

ViaDialog est également présent au Canada, en Israël et au Brésil et équipe environ 300 clients à travers le monde.

Vous êtes le spécialiste du CIM (Customer Interaction Management ) pouvez-vous nous donner un exemple de services que vous proposez ?

Oui, le Customer Interactions Management c’est à dire la gestion des interactions clients décrit bien notre métier.
Les applications sont aussi diverses que les moyens de communication utilisés par les clients pour interagir avec les entreprises sont nombreux.

Pour faire simple, on distingue les services qui ont trait aux communications entrantes – le client contacte l’entreprise – et les services qui ont trait aux communications sortantes – c’est l’entreprise qui contacte clients ouprospects pour leur proposer ses produits ou services.

En communication sortante, ViaDialog propose par exemple un service qui permet de relancer les prospects ayant fait des demandes de devis sur internet. Dans un premier temps, nous nous interfaçons avec les formulaires remplis en ligne par les prospects et nous vérifions pour chaque demande si elle n’a pas déjà été traitée par le service client, s’il n’y a pas de doublons et nous établissons son degré de priorité. Puis nous programmons automatiquement un rappel pour que la personne ayant fait la demande de devis par le formulaire soit rappelée par le service client. Le téléconseiller n’a pas d’action à faire : les appels sont passés automatiquement et lui sont transmis uniquement si le prospect décroche. Plus de lignes occupées ni de répondeurs donc un rappel rapide pour le client et un gain de temps pour le téléconseiller.

Au-delà de nos services actuels, nous avons à cœur de travailler sur les interactions clients de demain qui intègreront des portions d’intelligence artificielle. Plus concrètement, cela veut dire qu’une partie du dialogue client sera automatisé : le client interagira avec un robot pour des questions ou requêtes simples. Le téléconseiller prendra le relais si nécessaire mais dans un deuxième temps. Les objets connectés auront également un rôle important à jouer dans la transformation de la relation client.

Justement, comment les objets connectés interagiront-ils avec la relation client de demain ?

Le secteur de la relation client ne va pas tarder à être transformé en profondeur par les objets connectés. C’est d’ailleurs déjà le cas avec des objets comme le bouton Darty. Installé chez les clients, il les relie en une pression à l’assistance téléphonique de Darty pour un dépannage à distance ou des questions sur les appareils achetés chez Darty mais aussi ailleurs. Au moment de l’appel, le téléconseiller dispose de toutes les informations sur le client qui a pressé le bouton et lui répond de manière personnalisée.

A travers ce bouton, la relation client prend une forme concrète, celle d’un objet connecté qu’on peut avoir sous la main à tout moment chez soi. Amazon de son côté utilise sa connaissance des achats clients pour proposer l’objet Amazon Dash. Depuis la cuisine, celui-ci permet de scanner les produits alimentaires qui arrivent sur leur fin ou de les commander vocalement. La liste s’affiche sur le compte Amazon Fresh des clients qui n’ont plus qu’à valider la livraison de la commande. C’est un bon exemple d’assistance poussée aux clients, de résolution d’un point de friction du parcours client.

Le DSI doit-il s’impliquer dans les choix techniques du directeur de la relation client ?

Dialogues clients via internet (email, chat, réseaux sociaux…), objets connectés, réalité virtuelle ou augmentée…le digital va continuer à être au cœur de l’évolution de la relation client.

Aujourd’hui, les interactions clients se font en de multiples points de contact digitalisés et la connaissance client implique une gestion sans faille des données. Tout cela repose sur des systèmes d’information complexes – en interne ou externalisés dans le Cloud pour plus d’agilité – systèmes qui sont traditionnellement le domaine d’expertise du DSI.

Mais la vraie question est celle-ci : comment la technologie peut-elle faire progresser au mieux l’expérience client ? Et ensuite seulement se pose la question de la meilleure organisation au sein d’une entreprise pour arriver à ce résultat.
Face à l’intelligence et aux exigences des consommateurs connectés, la création d’une expérience client positive repose selon moi sur l’effort coopératif de tous les départements d’une entreprise.

Enfin, quel objet connecté a le plus de potentiel selon vous pour ces prochaines années ?

Les objets connectés vont transformer plusieurs secteurs d’activité. On pense notamment à la domotique, à la santé ou au sport. C’est la catégorie des wearables, ces objets connectés de l’habillement aujourd’hui encore en cours de développement, qui me paraît avoir le plus de potentiel. Ils deviendront probablement des outils indispensables pour surveiller ou améliorer la santé de leurs utilisateurs (mesure des signes vitaux, régulation de la température…).

Et ils joueront certainement aussi un rôle dans le développement de la réalité virtuelle en rendant l’expérience sensorielle encore plus immersive.

Interview de Nathalie Grosdidier, ‎Deputy managing director chez Idice

Nathalie Grosdidier_779Pouvez-vous nous présenter le salon i-Connect ?

Le salon i-Connect est un évènement 100% professionnel pour faire le point sur :

  • les dernières technologies applicables aux solutions connectées ;
  • les stratégies gagnantes pour entrer sur le marché.

Il a été pensé et conçu pour les services R&D, Innovation, DSI, Digital, Marketing, Achats, Directions générales. Il répond à un véritable besoin de rassembler tous les acteurs de la filière, qu’ils soient digital natives ou entreprises traditionnelles impliquées sur ce marché. Il présente toute la filière et tous les acteurs de la conception et fabrication des objets et solutions connectés.
Quel sera le moment fort du salon ?

Une table ronde d’ouverture réunissant un plateau d’experts autour d’une prospective industrielle et économique, un programme rythmée de conférences inédites et gratuites pendant lesquels 30 intervenants partageront leurs expériences, leurs visions. Lire la suite de cette entrée »

Medpi 2015: Rencontre avec Mélanie Dubus pour les serrures connectées Vachette.

Mélanie Dubus

Mélanie Dubus


Bonjour Madame Dubus, pourriez-vous vous présenter et nous présenter la société Vachette ?

Vachette est le N°1 français des systèmes de sécurité, poignées de porte et agencement. Pour ma part, je suis Responsable marketing pour les solutions électromécaniques dont font partie notre poignée électronique  et notre serrure connectée ENTR de notre gamme Revo’Motion.

Pourquoi avoir décidé de créer une serrure qui soit connectée ?

Les serrures traditionnelles sont utilisées au quotidien par chacun d’entre nous. La sécurité est le critère n°1 de choix d’une serrure pour protéger son logement. Cependant, nous recherchons également toujours plus de confort, de modernité et de contrôle dans notre quotidien. La connectivité de la serrure apporte tout cela avec par exemple le déverrouillage à distance, le transfert de droit d’accès à des invités ou la visibilité sur les accès à son domicile.

La serrure est-elle simple à installer sur une porte classique ?

ENTR est très simple d’installation. Il suffit de dévisser le cylindre existant (également appelé barillet ou canon), d’insérer la serrure connectée ENTR à la place et de revisser. C’est à la portée de tout-le-monde et s’effectue en moins de 2 minutes. ENTR s’installe sur n’importe quel type de porte et s’associe à n’importe quel type de serrure : monopoint ou multipoints, intégrée à la porte ou en applique. Nous avons vraiment souhaité lancer un produit accessible à tous. Lire la suite de cette entrée »

Interview avec Isabelle Jarniou, Directeur Général de Eurotech France

Isabelle Jarniou

Isabelle Jarniou

Pouvez-vous vous présenter et présenter EUROTECH ?

Je m’appelle Isabelle JARNIOU, je suis Directeur Général de Eurotech France, filiale du groupe International EUROTECH dont la maison mère se situe en Italie, sa présence étant mondiale avec des entités aux US, en Europe (Italie, Royaume-Unis, France) et en Asie (Japon).

Aujourd’hui c’est l’ambassadrice que je suis qui parle, celle d’Eurotech car ma mission est de développer l’activité de notre filiale, mais surtout ambassadrice, voire évangéliste IoT (Internet Of Things)… L’IoT que l’on nomme aussi chez nous M2M 2.0 car EUROTECH existe depuis 25 ans, son savoir-faire historique a commencé par le développement et la fabrication de matériel Hardware dédié au marché M2M plus particulièrement des calculateurs dédiés au  transport et à l’industrie. Depuis, notre activité a naturellement évolué avec un fort virage ces cinq dernières années : d’une activité purement « matérielle » nous fournissons maintenant hardware, connectivité et service, le service étant la collecte, le transport, le traitement et la mise à disposition des Data sur notre plateforme d’Intégration Cloud. Cette offre technologique permet à nos clients de se concentrer sur leur expertise, tandis qu’Eurotech s’occupe de la « logistique » de la Data.

Nous sommes tout simplement un catalyseur d’innovation dans le monde de l’IoT.

Qu’est-ce que le Machine to Machine (ou plutôt : qu’est-ce que l’IoT ou le M2M ?, pourquoi parle-t-on souvent des deux ?

Le Machine-to-Machine, M2M n’est pas nouveau ! Depuis que nous relions des « machines » sur un réseau quel qu’il soit, nous les connectons, pour agir à distance, diagnostiquer, piloter… bref ce n’est pas le principe de connexion lui-même qui est innovant mais l’évolution des technologies des réseaux (Radio, GPRS/3G/4G, WiFi etc…) et des CPU qu’on utilise dans l’embarqué dont la puissance s’est considérablement accrue, qui nous permettent aujourd’hui d’implémenter les technologies de l’Internet dans chaque device (ou objet).

Depuis quelques années, cette évolution a rendu possible l’utilisation des framework logiciels les plus répandus et fondés sur des standards ouverts (Linux, Java, par exemple) directement dans les systèmes enfouis là où auparavant cette programmation nécessitait une forte expertise et des outils généralement propriétaires.

Le développement d’une application M2M devient aujourd’hui extrêmement simple et rapide à développer avec une grande fiabilité si on s’appuie sur ces nouveaux outils.

Une autre conséquence de cette évolution de la puissance des réseaux est la transmission des données en utilisant les technologies de l’Internet directement à partir des capteurs.

Alors que le M2M demandait un investissement lourd en matériel et en développement logiciel (application propriétaire utilisant des réseaux non interconnectés), l’IoT apporte la souplesse et la flexibilité de l’Internet.

De plus les technologies utilisées dans l’IoT sont dans leur grande majorité open-source, cela a comme conséquence l’apparition de standards de-facto (Java, MQTT, COAP etc …) et la mise à disposition pour les développeurs d’une gigantesque base de code fiable et déjà testé. Il devient très rare aujourd’hui de démarrer un projet à 0 (from scratch), on réutilise généralement du code existant et on l’adapte au besoin de notre application.

L’IoT est donc tout simplement le M2M « moderne », le « hype » M2M !

Quel est votre cible client et quelles sont leurs problématiques ?

Nous ciblons essentiellement le B2B. Si les machines pouvaient parler, que nous diraient-elles ? Eurotech propose de leur « donner la parole », avec plusieurs enjeux en tête : Agir, Prévenir, Prédire (avec la possibilité de valoriser les données pourquoi pas dans un secteur parallèle).

Au même titre que les réseaux sociaux permettent de tout apprendre sur nous, nos habitudes, notre entourage, nos goûts… , les applications IoT pour l’industrie peuvent en apprendre des tonnes sur les machines, leur localisation, leurs usages, leur usure… nos clients sont des sociétés qui génèrent (ou souhaite le faire) ce type de données souvent récupérées en local, le plus souvent sous-exploitées et non valorisées.

A chacun son métier : nos clients peuvent être des as de la mesure, des spécialistes en nouveaux services dans les Smart Cities, le top des sociétés de maintenance industrielle,  le numéro un mondial en fabrication de distributeurs automatiques, des spécialistes du bâtiments, l’industrie de la smart Home … chacun a sa spécialité, mais tous ont besoin de collecter leurs données, et d’en disposer partout au service de leur expertise. Les entreprises qui ont compris que l’adoption de l’IoT leur permet en s’appuyant sur ce qui est déjà disponible d’accélérer considérablement le développement de leur solution prendront ainsi une avance décisive. Nous pouvons réaliser des POC très rapides avec nos clients (Proof of Concept), en quelques heures nous sommes capables de publier leurs données sur notre plateforme et nous leur permettons de commencer à développer leur application, pourquoi faire plus long, plus cher et plus risqué ?

Quelles sont les évolutions du marché de l’IOT que vous percevez ?

Si l’Internet des Objets est très connu pour les buzz que peuvent provoquer quelques objets « gadgets » B2C comme les montres connectées, les applications prometteuses pour la santé et les Smart Cities… on  parle peu des possibilités infinies d’innovations en terme d’usage, de nouveaux services (ou de forte amélioration de services existants), de services de maintenance curative/préventive/prédictive…. qu’ouvre l’Internet des Objets dans le monde de l’Industrie. Plus un objet a de la valeur (grosses machines industrielles), ou plus le service rendu par l’objet a de la valeur (bloc climatique de chambres froides par exemple), et plus sa connexion devient pertinente. Une machine en panne ou à sec a souvent des conséquences lourdes pour une entreprise (délai, revenus, image) … L’industrie est l’un des secteurs ou la compétitivité est primordiale et où l’excellence du service client peut faire la différence… L’Internet des Objets commence à rentrer dans les usines, dans les machines, s’installe sur les hommes, dans un souci de préservation optimale des outils et des hommes mais aussi la préservation de nos ressources. L’adoption massive de l’IoT dans l’industrie en général devrait avoir un impact très positif en terme de réduction des coûts et des pertes mais en parallèle il y a un second effet particulièrement bienvenu : celui de l’amélioration et de l’optimisation des consommations des ressources qu’elles soient énergétiques, matérielles et même humaines…  

Dans l’industrie où les investissements sont parfois difficiles, l’IoT permet d’offrir une alternative aux entreprises en modifiant les standards des business modèles, utiliser les services pour ne pas avoir à tout posséder offre un réel avantage afin d’aller vite et réduire les investissements nécessaires.

L’innovation ne vient pas que du produit ou du service mais aussi de son modèle économique, ajustable selon les clients et leurs besoins.

L’évolution du marché dépendra aussi de la vitesse de déploiement des nouveaux réseaux de communications pour l’Internet de Objets, en France nous avons Sigfox et LoraTM , ces deux solutions d’origine France vont-elles envahir le monde ? (Sigfox y travaille déjà). L’IoT ne peut pas se penser localement, difficile d’imaginer des solutions différentes pour chaque pays ou continent. Au même titre que les cartes SIM deviennent multi-opérateurs et utilisables dans le monde entier, il faudra bien qu’un réseau mondial dédié « Objet » puisse adresser ce nouveau marché plein de promesses.

Enfin, êtes-vous content du Salon SIDO ?

Oui ! Le SIdO a été une vraie surprise, une très belle surprise. Evidemment, nous pensions que ce serait un succès car le sujet est brûlant et les organisatrices de Cobees (que je félicite et remercie en passant) ont fait un excellent travail de communication et de promotion mais la qualité des conférences a été exceptionnelle, et les intervenants, tous experts et reconnus étaient au rendez-vous et ont enchanté le public. Public d’ailleurs en nombre, parfois trop puisque toutes les conférences étaient pleines et qu’il y a dû avoir des déçus restés aux portes des salles de conférence.

Coté exposants, l’écosystème IoT Français (mais pas que) était présent et coté visiteurs : beaucoup de contacts de qualité, avec des projets ou un réel intérêt, peu de curieux, pas trop de B2C (parfait pour notre activité).

Côté organisation et ambiance : juste un grand Bravo !

 

 

Le club Décision DSI, partenaire du site www.les-objets-connectes.fr

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Lors de ces Universités des DSI, le club Décision DSI, partenaire du site www.les-objets-connectes.fr , propose deux tables rondes exceptionnelles sur les thèmes de la transformation digitale et du cloud.

Le Club Décision DSI organise ses premières Universités des DSI. L’événement dont le site www.les-objets-connectes.fr est partenaire se tiendra le 26 mars prochain à Paris dans un Grand Hotel Particulier Parisien du 16ème Arrondissement. A cette occasion, deux tables rondes réuniront des décideurs informatiques et experts.
La première table ronde portera sur les rôles du DSI dans la transformation numérique de l’entreprise. La place de l’informatique dans la gouvernance digitale et l’orientation du système d’information vers l’IT as a service seront notamment au programme. Plusieurs DSI du club prendront la parole : Sébastien Desplats, responsable des systèmes d’information de Vinci Construction, Franck Barlemont, DSI de Prisma Media, ou encore Armand Assouline, DSI de Necotrans et Julien DAVAL Vice President du Club Décision DSI en partenariat avec le site www.ITResearch.fr

Cap sur les Objets connectés pour les DSI du Club Décision DSI

Quant à la seconde table, elle abordera trois grands enjeux liés à l’adoption du cloud : les défis juridiques, l’évolution des modèles de coût, et le stockage et la sécurité des données. Autour de la table prendront place notamment deux membres du Club Décision DSI : Thibault Dallemagne, responsable des systèmes d’information du Syndicat Français de l’Industrie Cimentière, et Damien Griessinger, Chief Technology Officer de l’European and Mediterranean Plant Protection Organization.

Des tables rondes interactives, et sans question taboue

Parmi les experts annoncés, Nicolas Amestoy, directeur général de Scholè Marketing, présentera les chiffres du cloud en France. Et Maitre Olivier Iteanu interviendra sur les problématiques juridiques et contractuelles liées au cloud. « Notre objectif est de revisiter la Table ronde a travers un format plus interactif », commente Julien Daval, vice-président du Club Décision DSI. « Ces deux tables rondes feront intervenir à la fois des DSI, des spécialistes et experts, mais aussi des chroniqueurs dont le JDN fera partie pour poser des questions sans tabou. »

Un village technologique sera également proposé en parallèle, comme à chaque événement du club. Il permettra de découvrir des acteurs IT sélectionnés pour leur caractère innovant par un collège de DSI membres. Y seront représentés (notamment) Ser SolutionsSoftfluentDecideis ,DropcloudEMCAspera ou encore Scality. Enfin, un diner sera proposé pour clôturer l’évènement. Il sera précédé d’une intervention de Jean-Louis Previdi du Gartner qui évoquera l’évolution du métier de DSI.

Les bagues NFC vont révolutionner notre façon de porter des bijoux.

Leroy
Interview de Monsieur Leroy, fondateur des Bagues NFC.

Bonjour Monsieur Leroy, pourriez-vous vous présentez et nous présenter la société Bague NFC ?

Bonjour à vous. Pour répondre à vos deux questions à la fois, je suis le fondateur de la Bague NFC. Je suis un technophile et je pars du principe que dans un avenir proche, on sera tous dépendants des objets connectés.
Je voulais participer à la création de ce futur. Créer ma société paraissait évident, un besoin vital aussi qui m’a permis de développer mes capacités. L’idée de la bague vient tout simplement du fait qu’il y a une grande préoccupation au niveau de l’interaction avec le mobile. Faire de cette bague un de ces objets dont on n’a plus envie de se séparer. En plus de l’aspect élégance!

Comment avez-vous fait pour que la bague connectée ne puisse jamais se recharger ? Lire la suite de cette entrée »

IT Partners 2015 : Des caméras cloud connectées Trendnet

Stéphane Gochtovtt

Stéphane Gochtovtt

Interview exclusive de Stéphane Gochtovtt, responsable objets connectés de la marque Trendnet.

Bonjour Stéphane Gochtovtt, pourriez-vous vous présenter et nous présenter la société Trendnet

Je suis responsable du développement de la marque TRENDnet en France depuis 2 ans et je travaille avec TRENDnet depuis 8 ans via l’importateur historique de la marque Exertis Comtrade.
TRENDnet est une marque Californienne spécialiste et leader du réseau depuis plus de 25 ans. La marque est présente en France depuis 2003 à travers tous les canaux de distribution : revendeurs, e-commerce et grande distribution. Le portefeuille de produits est vaste ; il comprend des articles très répandus comme le WiFi, le CPL, les réseaux filaire Ethernet, Gigabit ou fibre optique, les KVM, et les caméras IP.

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La transformation d’un objet traditionnel en objet connecté

Emmanuel Mouton

Emmanuel Mouton


Interview exclusive de Emmanuel Mouton, pdg de Synox Group

BONJOUR MONSIEUR MOUTON, POUVEZ-VOUS VOUS PRÉSENTER ET PRÉSENTER VOTRE ENTREPRISE.

Je suis Emmanuel MOUTON, Président Directeur Général de Synox Group.
J’ai fondé ma première société dédiée à la mobilité en 2003, et c’est mon expérience et ma passion pour les nouvelles technologies qui m’ont rapidement conduit à développer une nouvelle structure dédiée aux objets connectés. C’est comme ça que Synox Group voit le jour en 2005.

Très impliqué dans le développement des nouveaux usages de demain, je contribue aussi activement à la promotion des nouvelles technologies en tant que Vice-Président du Cluster numérique FrenchSouth.digital et ambassadeur de la French Tech Montpellier. Lire la suite de cette entrée »

Le commerce connectée aux Editions Eyrolles

Commerce Connecté aux editions Eyrolles

Commerce Connecté aux editions Eyrolles


Interview exclusive de Jean-Baptiste Vallet et Vincent Druguet

Bonjour Jean-Baptiste, pouvez-vous présenter, et présenter votre livre ?

Bonjour, je m’appelle Jean-Baptiste Vallet, j’ai 37 ans et je suis un consultant en stratégie, avec donc une sensibilité particulière sur les nouvelles technologies. Nous avons eu l’idée de ce livre, avec mon co auteur, Vincent Druguet, qui est directeur général adjoint en charge du marketing & de l’innovation chez DigitasLBi Paris, en voyant l’émergence d’une nouvelle forme de commerce qui unifie le commerce physique et le commerce digitalisé. C’est le commerce connecté.

Le commerçant est-il prêt à être suffisamment “connecté” pour toucher le consommateur ?

Tout va dépendre de ce que l’on entend par commerçant. Il est évident que la petite structure de vente du coin de la rue n’est pas digitalisée, Lire la suite de cette entrée »

Les walking desks connectés – Interview de Marc Thouvenin

Marc Thouvenin

Marc Thouvenin

Interview de Marc Thouvenin, fondateur de Activup

Pourrais-tu présenter tes activités dans les objets connectés ?

J’ai aujourd’hui deux activités en parallèle :
– la conception et commercialisation de walking desks connectés, sous la marque ActivUP que j’ai créée il y a quelques mois. Ce sont des bureaux avec un tapis de marche intégré qui permettent de travailler en marchant.
Ces équipements sont connectés en bluetooth à l’ordinateur et au mobile pour tracker la distance parcourue, les pas et les calories dépensées.
– une activité de conseil liée aux objets connectés, avec notamment
comme clients HAPI.COM  (la société qui a créé la HAPIfork et le
HAPItrack). J’accompagne aussi des initiatives plus early stage comme la tirelire connectée de Microdon. Lire la suite de cette entrée »

Microsoft TechDays’15 : Les capteurs d’activités de Balloons

Xavier Bertrand et l'équipe Balloons

Xavier Bertrand et l’équipe Balloons

Interview Exclusive de Christophe Havard pendant les TechDays de Microsoft

Bonjour Christophe Havard, pourriez-vous vous présenter et nous présenter la société Balloons.

J’ai 27 ans, je suis ingénieur en développement logiciel de formation, issue de Polytech Grenoble.

J’ai commencé ma carrière il y a quelques années par la création d’une start-up, Digitale Interactive, qui commercialise des tables tactiles interactives à destinations des restaurants connectés. Après diverses expériences, je reviens aujourd’hui à l’entrepreneuriat avec la création de Balloons.

Balloons part tout d’abord d’une question simple : depuis combien de temps n’avez-vous pas dit à vos proches (parents, grands-parents), que vous pensiez à eux? Que vous les aimiez? Trop souvent, la réponse est “je ne sais pas” ou “il y a longtemps”.

Pour remédier à cette situation, nous avons créé un objet qui permet simplement de signifier aux gens qu’on aime, qu’on les aime. Lire la suite de cette entrée »

La banque connectée : Mobile Banking Factory 2

web-mbf2-3Le Crédit Agricole Store coorganise avec Orange, au travers de son programme Orange Partner pour les développeurs, PSA Peugeot Citroën, Salesforce et Xee la 2nde édition de la Mobile Banking Factory.

Pendant deux mois, des développeurs, marketeurs et designers d’applications mobiles vont utiliser les données du Crédit Agricole Store et de ses partenaires afin d’imaginer et de réaliser des applications innovantes (gestion de budget auto, éco-conduite…) à destination des clients de ces entreprises. Le coup d’envoi de ce challenge sera donné le samedi 14 mars 2015 à l’USINE IO, au cœur de Paris, un espace de coworking et de prototypage pour entrepreneur. La compétition se déroulera ensuite dans les locaux de l’agence BeMyApp. Lire la suite de cette entrée »

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